Neurobiologie et génétique : Les recherches se concentrent sur les bases neurobiologiques et génétiques du TDAH. Des études récentes ont approfondi notre compréhension des anomalies dans la transmission de la dopamine et d’autres neurotransmetteurs.
Traitements pharmacologiques : Les traitements par psychostimulants, comme les amphétamines, restent une méthode efficace pour gérer les symptômes du TDAH. Cependant, des recherches explorent également de nouvelles molécules et des traitements non stimulants pour offrir des alternatives aux patients.
Interventions non pharmacologiques : L’activité physique est de plus en plus reconnue pour ses bienfaits sur les symptômes du TDAH. Une étude menée par une doctorante de l’UQAM explore comment l’exercice peut améliorer l’attention et réduire l’hyperactivité chez les jeunes.
Comorbidités et santé mentale : Les chercheurs continuent d’examiner les comorbidités associées au TDAH, telles que l’anxiété et la dépression, pour mieux comprendre comment ces conditions interagissent et comment elles peuvent être traitées de manière holistique.
Technologies et outils de diagnostic : Les avancées technologiques, comme l’imagerie cérébrale et les outils de diagnostic numérique, permettent des diagnostics plus précis et personnalisés. Ces technologies aident à identifier les sous-types de TDAH et à adapter les traitements en conséquence.
Ces recherches offrent de nouvelles perspectives et améliorent la qualité de vie des personnes atteintes de TDAH.
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